À la manière d’un pop-up – kiosque d’été, Le centre J’art-din, semble être un espace où les gens peuvent se procurer des produits horticoles et profiter du secteur de la traverse. Cependant, au fur et à mesure que les visiteurs explorent l’espace, ils découvrent des éléments qui remettent en question l’image bucolique du petit magasinage touristique « du boat ».

Le centre J’art-din est en réalité une parodie capitaliste subversive, qui met en lumière les aspects absurdes et conservateurs de la politique municipale de la Ville de Lévis quant au développement urbain du secteur de la traverse. Des pancartes satiriques et des fausses publicités incitent les visiteurs à réfléchir sur leur propre rôle dans ce système.

Évolutif et saturé de « happenings » Le centre J’art-din détourne les attentes des visiteurs et les amènent à réfléchir sur des sujets importants tels que la responsabilité sociale et morale de l’individu, l’éthique de l’urbanisme et les enjeux de l’art en société.